Le "Kempferhof Golf Hôtel" ou le prestige d'un site d'exception.
S'il est un endroit en France où l'on peut allier bon nombre de plaisirs tels que golf, gastronomie et hôtellerie, il s'agit sans aucun doute du "Kempferhof". Le grand architecte américain Robert Von Hagge a utilisé les 85 hectares qui entourent une ancienne demeure seigneuriale du XIXème siècle, devenue hôtel de luxe et de caractère, pour en faire une de ses œuvres les plus accomplies. Situé au cœur de l'Europe, en Alsace à moins de 15 kilomètres de Strasbourg, le "Kempferhof", sous la houlette de Guillaume Robuchon, propose aux amoureux du golf de se laisser également séduire par une gastronomie et une hôtellerie de luxe qui rend inoubliable un séjour en ces lieux féeriques.
Un des plus beaux parcours de France
Noté 18/20 et considéré comme le deuxième meilleur parcours de France par le fameux "Peugeot Golf Guide" (le "Michelin" du golf), le "Kempferhof" demande à être joué et rejoué plusieurs fois pour en découvrir sa substantifique moelle.
Dans cet écrin écologique qu'est le Ried alsacien, sur lequel la nature a développé un fabuleux écosystème, le golfeur ne doit pas se laisser distraire par les nombreux envols de canards, de hérons cendrés ou de vanneaux huppés venus trouver ici pitance infinie.
Ce cadre bucolique et majestueux, Robert Von Hagge a su le rendre à la fois accueillant et redoutable pour tout golfeur venu défier le parcours qu'il y a conçu.
A l'image des "Bordes" et de "Seignosse", deux autres signatures prestigieuses du célèbre architecte américain, le "Kempferhof" s'intègre parfaitement dans son milieu naturel tout en le préservant et en offrant un parcours technique de niveau international.
Du trou n°1, plus difficile qu'il n'y paraît avec ses 386 mètres (boules blanches), longs frappeurs, méfiance !, jusqu'au 18, sélectionné par Golf Magazine pour faire partie des plus beaux pars 4 de France, il faut toujours faire preuve de précision et de...modestie.
En effet, ici, l'eau est en jeu sur 16 des 18 trous ! Quand ce ne sont pas d'immenses bunkers dignes des plus belles mers de sable...
"Vu des back tees, il peut paraître inhumain, mais il est tout à fait accessible à la grande masse des joueurs." se plaît à dire à son propos Jean Van de Velde.
S'il est cependant difficile d'y jouer son handicap, il faut noter l'initiative de Guillaume Robuchon, qui pour ne pas léser une bonne partie des golfeurs impressionnés par sa "majestueuse difficulté", propose sur tous les trous un départ avancé (boules vertes) destinés aux débutants possesseurs de la carte verte. Chacun finalement y trouve son compte et le plaisir des yeux n'est jamais altéré par une quelconque impossibilité de jouer.
Au plaisir du golf s'ajoutent ceux de la gastronomie et de l'hôtellerie
Quoi de plus agréable, après un parcours ayant laissé tant de sensations, que de se retrouver dans un cadre enchanteur pour savourer un "après golf" bien mérité.
On est tout de suite séduit par un décor de rêve, celui d'une ancienne demeure seigneuriale transformée en hôtel de luxe, où règne une atmosphère mystérieuse, qui tranche avec une aile contemporaine au design avant-gardiste fruit de la transformation des dépendances du château.
Ce sont en effet deux hôtels en un que propose le "Kempferhof".
Les 13 chambres dont 5 suites de la maison seigneuriale déclinent un décor personnalisé, inspiré par de grands films célèbres tels que "Barry Lyndon", "Out of Africa" ou "Lawrence d'Arabie"..., histoire peut-être de s'évader encore un peu plus...
Les 16 nouvelles chambres, crées dans les dépendances par l'architecte designer Michel Moretti, portent l'offre hôtelière du "Kempferhof" à 29 chambres. Ces dernières s'ouvrent sur des terrasses privatives et affichent un aspect design très tonique avec par exemple, pour celles situées à l'étage : une salle de bains contemporaine aux lignes épurées et aux lavabos en ciment, simplement séparée de la chambre par un rideau rayé, qui donne sur la terrasse.
Avec l'arrivée de Guillaume Robuchon à la direction générale de l'ensemble, le complexe hôtelier ne pouvait que développer une gastronomie de terroir originale dans un cadre raffiné. Ancien sommelier, auréolé d'une excellente réputation acquise au "Crocodile" de Strasbourg, cet amoureux du golf, de la bonne chaire et des bons vins réussit à faire du "Kempf", comme il l'appelle, un lieu qui séduit de plus en plus de nouveaux clients, golfeurs ou non.
Dernière trouvaille de Guillaume Robuchon : une cave voûtée (située non loin de la chapelle privée à visiter absolument) aménagée pour déguster les grands vins d'Alsace et ceux de bon nombre de petits producteurs sortis de derrière les fagots par cet ancien sommelier de renom.
Comment ne pas se laisser séduire par cet endroit de rêve où règne au petit matin une quiétude absolue emprunte d'une atmosphère étrange et mystérieuse.
Noté 18/20 et considéré comme le deuxième meilleur parcours de France par le fameux "Peugeot Golf Guide" (le "Michelin" du golf), le "Kempferhof" demande à être joué et rejoué plusieurs fois pour en découvrir sa substantifique moelle.
Dans cet écrin écologique qu'est le Ried alsacien, sur lequel la nature a développé un fabuleux écosystème, le golfeur ne doit pas se laisser distraire par les nombreux envols de canards, de hérons cendrés ou de vanneaux huppés venus trouver ici pitance infinie.
Ce cadre bucolique et majestueux, Robert Von Hagge a su le rendre à la fois accueillant et redoutable pour tout golfeur venu défier le parcours qu'il y a conçu.
A l'image des "Bordes" et de "Seignosse", deux autres signatures prestigieuses du célèbre architecte américain, le "Kempferhof" s'intègre parfaitement dans son milieu naturel tout en le préservant et en offrant un parcours technique de niveau international.
Du trou n°1, plus difficile qu'il n'y paraît avec ses 386 mètres (boules blanches), longs frappeurs, méfiance !, jusqu'au 18, sélectionné par Golf Magazine pour faire partie des plus beaux pars 4 de France, il faut toujours faire preuve de précision et de...modestie.
En effet, ici, l'eau est en jeu sur 16 des 18 trous ! Quand ce ne sont pas d'immenses bunkers dignes des plus belles mers de sable...
"Vu des back tees, il peut paraître inhumain, mais il est tout à fait accessible à la grande masse des joueurs." se plaît à dire à son propos Jean Van de Velde.
S'il est cependant difficile d'y jouer son handicap, il faut noter l'initiative de Guillaume Robuchon, qui pour ne pas léser une bonne partie des golfeurs impressionnés par sa "majestueuse difficulté", propose sur tous les trous un départ avancé (boules vertes) destinés aux débutants possesseurs de la carte verte. Chacun finalement y trouve son compte et le plaisir des yeux n'est jamais altéré par une quelconque impossibilité de jouer.
Au plaisir du golf s'ajoutent ceux de la gastronomie et de l'hôtellerie
Quoi de plus agréable, après un parcours ayant laissé tant de sensations, que de se retrouver dans un cadre enchanteur pour savourer un "après golf" bien mérité.
On est tout de suite séduit par un décor de rêve, celui d'une ancienne demeure seigneuriale transformée en hôtel de luxe, où règne une atmosphère mystérieuse, qui tranche avec une aile contemporaine au design avant-gardiste fruit de la transformation des dépendances du château.
Ce sont en effet deux hôtels en un que propose le "Kempferhof".
Les 13 chambres dont 5 suites de la maison seigneuriale déclinent un décor personnalisé, inspiré par de grands films célèbres tels que "Barry Lyndon", "Out of Africa" ou "Lawrence d'Arabie"..., histoire peut-être de s'évader encore un peu plus...
Les 16 nouvelles chambres, crées dans les dépendances par l'architecte designer Michel Moretti, portent l'offre hôtelière du "Kempferhof" à 29 chambres. Ces dernières s'ouvrent sur des terrasses privatives et affichent un aspect design très tonique avec par exemple, pour celles situées à l'étage : une salle de bains contemporaine aux lignes épurées et aux lavabos en ciment, simplement séparée de la chambre par un rideau rayé, qui donne sur la terrasse.
Avec l'arrivée de Guillaume Robuchon à la direction générale de l'ensemble, le complexe hôtelier ne pouvait que développer une gastronomie de terroir originale dans un cadre raffiné. Ancien sommelier, auréolé d'une excellente réputation acquise au "Crocodile" de Strasbourg, cet amoureux du golf, de la bonne chaire et des bons vins réussit à faire du "Kempf", comme il l'appelle, un lieu qui séduit de plus en plus de nouveaux clients, golfeurs ou non.
Dernière trouvaille de Guillaume Robuchon : une cave voûtée (située non loin de la chapelle privée à visiter absolument) aménagée pour déguster les grands vins d'Alsace et ceux de bon nombre de petits producteurs sortis de derrière les fagots par cet ancien sommelier de renom.
Comment ne pas se laisser séduire par cet endroit de rêve où règne au petit matin une quiétude absolue emprunte d'une atmosphère étrange et mystérieuse.
Janvier 2007
Par Jean-Louis CALMEJANE
