Gastronomie

Le nom d’une danseuse de la Belle Epoque !

Ce nom est en hommage à la danseuse Cléo de Mérode, jeune fille de bonne famille qui se passionna pour la danse classique et devint une icône de la beauté dans les années 1900. Elle incarna à cette période peu La Belle Epoque.
On dit même que le roi des Belges s’amouracha d’elle et qu’elle l’éconduit. Mais malgré tout c’est par cette affaire qu’elle devint célèbre !

Une cuisine chaleureuse et contemporaine

Ici dans un décor chaleureux où la verrière baigne de lumière le restaurant et ses petits fauteuils et canapés de couleur poudré, le chef Bruno Aubin, nous régale d’une cuisine pétillante sans être prétentieuse. Il a travaillé entre autres avec Eric Frechon chez Epicure, au Bristol et au Drugstore Publicis Tables bien dressées, personnel aux petits soins et bienveillants, le menu est simple mais bien travaillé.
Les produits sont de saison et le chef sait manier avec brio les ingrédients pour en faire des plats succulents et bien travaillés ! Il maitrise à la perfection l’art du condiment inattendu et de l’accord original.

Une carte courte bien maitrisée et succulente

On aime sa carte courte qui propose 3 entrées, 4 plats et 4 desserts. Choix cornélien pour décider car tout est tentant et titille
agréablement nos papilles. Nous nous laissons donc tenter par l’artichaut croustillant accompagné de son pesto de basilic et de ses tomates confites. Un joli tableau gustatif présenté dans une délicate assiette.

Puis nous avons le coup de cœur pour l’agneau de lait avec son ragoût de petites pois rafraîchies au basilic. Une viande à la cuisson juste qui régale nos papilles et nous finissons en apothéose avec le baba. Un joli moment, dans une ambiance sereine et agréable, avec un personnel souriant et des plats aux accords ou aux condiments étonnants !